Beaucoup d’appelés, peu d’élus

À la très mouvante question des taux hypothécaires, il faut aussi considérer le cadre qui est fixé à ceux qui veulent se lancer. Il faut dire que les exigences à remplir en termes d’apport de fonds propres sont élevés et que les banques évalue avant de valider un dossier de financement. Résultat, après avoir connu une hausse ininterrompue sur plusieurs décennies, les chiffres de l’accession à la propriété sont en baisse depuis 2015. Pas étonnant alors que la Suisse ait un taux de propriétaires plus bas que bon nombre de ses voisins européens (36%, contre près de 58% en France).

La baisse des taux relance le match

Avec un risque d’inflation qui semble désormais s’éloigner, les banques centrales abaissent les unes après les autres leurs taux directeurs. Ainsi, la location qui était apparue comme une formule plus avantageuse financièrement perd un peu de son attrait face à l’achat. Les hypothèques redeviennent abordables et les candidats à la propriété se réveillent doucement. Il faut dire qu’entre temps, les loyers ont pris l’ascenseur poussant de plus en plus de locataires à se poser sérieusement la question de l’achat. Le vent à l’air de tourner en faveur de l’accession à la propriété…

Une décision d’investissement et un choix de vie

Avec des taux plus attractifs, des économies fiscales et un budget logement réduit, tout semble plaider à nouveau pour l’acquisition d’un bien immobilier. Et pourtant, il y a bien aussi des paramètres personnels à prendre en compte avant de se décider. Est-on prêts à se fixer quelque part ou a-t-on besoin de liberté et de flexibilité ? Le moment est-il venu de mobiliser une partie de sa prévoyance et de son épargne pour réaliser un tel projet ? Parce qu’il aura une vision à 360 degrés sur votre situation personnelle, un expert du Groupe Plus saura vous indiquer la meilleure stratégie selon vos intérêts.